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La Vie d'Emilie
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9 juin 2009

Episode 42. Venez toucher la raie!

Non. Il ne s’agit pas d’un épisode pornographique ou scatologique de ma vie. Mais d’une expérience aquatique.
Le meilleur moment de ma petite virée bélizienne a eu pour cadre l’île de Caye Caulker, où les palmiers et le sable blanc ont un petit goût de paradis, si ce n’était la chaleur torride qui donne une petite idée de l’enfer…
40 dollars béliziens (soit 20 dollars US, soit…. Euros ?) me permettent de partir pour une matinée de «snorkelling », masque, palmes et tuba de rigueur pour aller observer le récif corallien qui se trouve à quelques encablures de l’île. Suivant les conseils d’une française qui ne pouvait plus marcher pour cause de coups de soleils, je m’oint le corps de crème, en oubliant toutefois quelques endroits stratégiques : les cinq centimètres de peau situés entre mon débardeur et le bas de mon bikini, et le bas de mes fesses, oubliés pour cause de tartinage en position assise… je m’en repentirai plus tard…
Téméraire comme je suis, je pousse des cris dans mon tuba lorsque le guide fait remonter vers nous une énorme murène, noire… rebelotte lorsqu'un gros barracuda se met en place à un mètre, nous regardant droit dans les yeux… on a beau savoir que ça n’aime pas trop la viande française, les petites dents aiguisées ne sont pas rassurantes…
Telle une sirène (eh ben quoi ? c’est moi qu’écris, c’est moi qui décide des comparaisons, non ? je vais pas dire : tel Willy l’orque !) , je me faufile ensuite entre les récifs pour observer les tits poissons de toutes les couleurs… comme c’est yoli !
Le deuxième arrêt-plongée est nettement plus stressant pour mon système nerveux : les raies. Mantas. Une vingtaine. Qui nagent autour du bateau. Le guide dit qu’il n’y a rien à craindre. C’est celââââaaa, ouiiii. Et puis m….., on a pas tous les jours cette occasion. Mes heures passées à faire la planche serviront au moins à quelque chose : dans une eau d’un mètre cinquante de profondeur, je préfère flotter tel un beau bout de bois vermoulu, histoire de ne pas me faire caresser les pieds par ces grosses bébêtes. Qu’on se le dise : une raie manta c’est très gros, et ça nage très vite… Le guide local n’hésite pas à en attraper, pour nous les faire toucher : je frôle rapidement la peau de l’animal, histoire de ne pas le décevoir !
Je lui ai touché la raie !
IMG_0765

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Commentaires
M
Qui c'est qui parle? esprit es-tu là? J'ai malheureusement trop d'ami qui répondent au doux nom de "moi" ;)<br /> à bientôt!<br /> Milie.
M
ça me rappelle une réplique des bronzés... "c'est délicieux c'est de la raie". Ah avec quel plaisir je relis tes textes Emilie. Bon voyage!! Et gare à la grippe A... (parents, s'abstenir de lire). (ps milie cette adresse email à moi qui apparaît pê qqpart que j'en sais rien car j'y connais rien aux blogs, c'est pas la bonne, hi hi..)
La Vie d'Emilie
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